Histoire du peuple
- Spoiler:
- Années Créatrices:
- Aux temps les plus anciens, alors que les Anges venaient de découvrir les écrits, vivaient dans les collines et les plateaux chauds du sud de nortatem des créatures qui se désignaient sous le nom d'elfes. Ils étaient organisés en clans nomades, indépendants, et vivaient de la chasse et de la cueillette. Ils étaient agiles, habiles, dotés d'un talent de la manipulation de la magie primitif et d'une longévité que seul, semblait-il, les crocs des bêtes et la famine pouvaient mettre à l'épreuve. Bien peu de traces existent encore de cette époque révolue. On pense qu’ils possédaient déjà à l’époque L’Alusia, énorme pierre brillant d’un reflet irréel, que la légende dit conférée par les dieux.
Alors que semble t’il, ils avaient fait la découverte de l'agriculture, la vie se fit plus rude, et l'aridification du sud du continent, provoquée par un apport d'eau de pluie empêché par les courants aériens qui varièrent pour une raison encore inconnu, transforma lentement mais inexorablement le sud du continent en désert invivable. Les clans marchèrent alors vers le nord, migrant dans un long mouvement commun, un exil sans retour. Les elfes arrivèrent alors jusqu'à une terre accueillante: la lisière d'une immense forêt, bordée par un fleuve calme et plus étendu que n'importe quel ruisseau qu'ils aient jamais vus avant.
Ivres de joie de trouver une zone accueillante, mais mal armés et peu habitués aux dangers forestiers, les clans se fixèrent sur cette limite, mais non sans heurts: trop peu de zone frontalière et fertile, où peu à peu les elfes se sédentarisèrent. Trop peu d'espace, et trop de monde. Les rivalités et animosités ne firent que croître entre les différents clans, se disputant âprement le territoire dans lequel ils se sentaient un peu à l’étroit comparé à leur ancienne zone d’habitat.
- Premier & Second millénaire:
- Il existait un autre terrain propice à la vie, frais et possédant de l’eau : les grottes et tunnels souterrains, aux environs. Au fur et à mesure de l’expansion de certains clans, d’autres trouvèrent refuge dans ces sanctuaires sombres. De nos jours, les drows prétendent que les clans de la surface se sont assurés le terrain par la force et l’intimidation, alors que pour les sylvains, les clans qui sont allés sous terre croyaient y trouver de meilleures conditions.
Les clans se développèrent au fil du temps : les elfes en surface, s’habituant au domaine forestier, s’étendant de plus en plus profondément dans la forêt, et les elfes en sous-sol découvraient peu à peu le réseau de galeries immense et profond déjà existant, et créaient leurs propres aménagements et tunnels. Alors que les clans en surfaces s’intriquaient dans des relations étroites, chaque clan souterrain s’organisa sous la forme d’une citée état, aménageant dans quelques immenses cavernes parsemant le réseau souterrain. Alors que les elfes sylvains s’apercevaient que l’Alusia renforçait d’une façon stupéfiante la fertilité des terres, rapprochant plus leur agriculture de la cueillette que de sa conception humain, les elfes vivant sous terre se débrouillaient en développant les plantes calloriphages et troglodytes. Sous l’influence des courants telluriques et magiques parcourant les régions souterraines, les elfes des souterrains virent apparaître certaines mutations, aidées par la sélection naturelle : ainsi, ils développèrent une vision plus adaptée à l’obscurité, et leur couleur de peau changea elle aussi, le tout échelonné. Ainsi, les elfes qui remontaient le plus à la surface gardait une peau blanche bien qu’un peu pâle, et ne développèrent qu’une nyctalopie plus ou moins légère, et les clans les plus profonds et isolés se parèrent d’une peau sombre et d’une nyctalopie poussée voir d’une infravision. Même si de nos jours la mixité rend la population plus hétéroclite, les différencier de leurs « cousins » reste généralement assez facile.
Les elfes des souterrains conservaient bien sur des liens commerciaux et diplomatiques avec ceux de la surface, et s’y rendaient couramment, mais peu à peu se formait un fossé fait de méfiance et d’hostilité, des classes politiques jusqu’aux plus bas des sujets, entre les « sylvains » et les « sombres » comme s’appelèrent bientôt réciproquement les concernés. Les sylvains prétendaient aussi que les modifications des sombres n’avaient étés que physiques mais que leur mental, leurs âmes, avaient aussi été affectés. Ce que démentaient totalement les elfes sombres chez qui courait le sentiment que les elfes sylvains étaient devenus un peu mous et surtout qu’ils avaient la fâcheuse manie de snober les « faces-de-charbon », « terreux » et autres sobriquets dont les affublaient certains sylvains. La Xénophobie enflait, lentement mais sûrement. Lorsqu’un sylvain disparaissait, certains en accusaient des drows, avec parfois des échauffourées, jusqu’à ce qu’on retrouve le corps du sylvain tué par une bête…ou qu’on ne le retrouve pas.
- Troisième & Quatrième:
- Finalement, après plusieurs morts suspectes de personnes éminentes, la querelle remonta aux plus hauts niveaux, et tous les clans mirent joyeusement le doigt dans l’engrenage de la guerre, faisant éclater le conflit à grande échelle opposant la surface contre les souterrains qui couvait depuis si longtemps. Aucun ne resta neutre, et il n’y eu, dans cette sanglante guerre civile faite d’assaut, d’escarmouches, de pièges et d’assassinats, aucun cadeau d’aucun coté. Petit à petit, les elfes sylvains, mieux organisés entre eux, supérieurs en nombres et opposant aux réseaux souterrains des drows leur connaissance du milieu forestier, s’accaparaient peu à peu la victoire.
Voyant la défaite s’approcher, les elfes sombres, ayant liés connaissance avec les démons qui se développaient sur le même continent, mais dont les approches étaient repoussés par les capacités de l’Alusia, conclurent un pacte avec eux : Les elfes sombres détruisaient l’Alusia, permettant aux démons d’envahir le riche territoire partiellement, et ainsi de créer un deuxième front pour les sylvains, permettant aux drows et aux démons de vaincre les sylvains et de se partager leurs terres. Une attaque brutale et sournoise de elfes sombres contre l’Alusia, pourtant bien gardée, faillit réussir : la pierre ne fut pas détruite mais abîmée . La magie de la pierre s’échappa peu à peu suite à cette agression, réduisant progressivement la zone d’influence de la protection conférée par l’Alusia. Les démons purent ainsi s’introduire sur le territoire des elfes, pillant un territoire que les elfes sylvains, écartelés par les deux conflits, ne pouvaient réellement protéger.
Dans le feu et la haine, la guerre civile semblait préluder à la destruction des sylvains, quand l’héritière du clan gardant l’Alusia recourut à un acte désespéré : sans bien comprendre les forces misent en jeu, elle tenta le tout pour le tout en se servant de la fissure laissant se dissiper le pouvoir de la pierre pour condenser celui-ci à un point critique et accroître le pouvoir de l’Alusia dont l’influence se ré-étendit sur toute la forêt (et certains disent même légèrement au-delà), tel un invisible fléau pour toutes les troupes démoniaques, les frappant, les dispersant et réduisant leur force d’invasion en miettes éparses qui s’enfuirent dans la débâcle . Même si, ce jour là, l’Alusia perdit la quasi-totalité de ses pouvoirs, à part celui d’assurer la fertilité du sol de la forêt, la liesse submergea les habitants de la forêt libérés de cet agresseur. A partir de là, la guerre reprit son cours normal et les sylvains arrachèrent la victoire aux elfes sombres honnis qui se réfugièrent dans leurs souterrains et leurs cavernes, plus profond que jamais.
Se rejetant mutuellement les uns sur les autres la responsabilité de l’échec et du manque d’organisation, rongés par l’ambition de se dominer l’une l'autre, les citées états s’embourbèrent dans un conflit long et vicieux, aussi diplomatique et commerciale que militaires. Il y eu une nouvelle tentative d'assaut commun contre les elfes sylvains, avec l'aide des démons qui avaient recouverts de leurs blessures, mais l'alliance fragile des citées-états se brisa lorsque les humains et les anges, fraichement débarqués sur nortatem, leur causèrent leurs premiers revers et les fit se replier, ainsi que les troupes démoniaques. Mêmes si, durant les siècles suivants certaines cités passèrent des accords commerciaux avec les démons, la possibilité d’une politique étrangère commune et même plus généralement d’une union des elfes sombres semblait très sérieusement compromise.
- Cinquième millénaire:
- Jusqu’à ce que le dirigeant d’Habygor, une des plus puissante citée état, arrivé au pouvoir par un coup d’état en renversant les castes matriarcales de sa citée, réussisse, petit à petit, dans une gigantesque partie d’échecs qui dura près de milles ans, à unifier sous sa bannière toutes les cités états elfes sombres. Après une certaine période d’assainissement et d’organisation, le dirigeant, Belphégor, leva des yeux avides vers la surface. Les terres elfes, en surface, étaient gorgés d’esclaves potentielles et de matières premières .Or, quoi de mieux pour relancer l’économie ? Et puis, quelle bonne occasion de s’étendre, en puissance et en territoire, et d’apaiser la soif de revanche pluriséculaire qui couvait dans le cœur de tout elfe sombre.
- Sixième & Septième millénaire:
- Vers l'an 6300, se présenta une conjecture politique plus que favorable: les fées connaissaient une période de troubles internes, les démons aussi, ce qui les empêcheraient de prendre une part du gâteau ou de tirer les marrons du feu, et un conflit de taille venait d'éclater sur Siliria, occupant l'attention des anges et des humains. Les esprits les plus suspicieux se doivent d'ailleurs de se demander si les intrigues pernicieuses et secrètes des elfes sombres n'y sont pour rien dans ces conflits qui les arrangèrent tant.
Après de longues et discrètes préparations, l’assaut fut donné, soudainement, en pleine nuit .Sortant de tunnels aménagés à cet effets, les troupes drows attaquèrent par surprise le Palais des Hauts-Elfes, le seul clan dont la fierté leurs avaient fait refusés la vassalisation à la lumière de Gaïa .Ce fut un véritable bain de sang : Submergés par leurs sombres cousins, les hauts-elfes furent taillés en pièces, malgré quelques cas de bravoure isolés .Cependant, dans la confusion, rassemblant ce qui restait de gardes, le roi et la famille royale réussit à s’enfuir .Le lendemain, Belphégor, victorieux, contemplait de la plus haute tour du palais le territoire nouvellement annexé, le sourire au lèvres, au milieu du râle des mourants et du pillage sanguinaire de ses hommes .L’armée progressa encore dans la forêt, pillant et massacrant la population, balayant facilement les petites milices de fortunes dressés par les habitants .Cependant, alors que les elfes sombres gagnaient toujours plus de terrain, les elfes sylvains de la grande forêt rassemblaient leurs forces, pour arrêter cette progression, et ne pas connaître le même sort que le royaume haut-elfe .Les fées, réalisant le danger que cette Ost noire constituait, se joignirent à eux et réunirent leurs forces à la capitale des sylvains .L’armée de la nature se mit en marche, avec la ferme intention de mettre en déroute les troupes elfes sombres .Lorsque Belphégor appris cette nouvelle, il rassemble toutes les forces dispersées à la surface, en train de piller, et se dirigea lui aussi vers ses adversaires, pour la bataille .Les deux armées se rencontrèrent dans une immense clairière, utilisée par les elfes sylvains pour leurs rites druidiques .Les chevaucheurs de sang-froid faisaient face aux fières cavaliers Sylvains, les hommes en armures noir bardées de piques faisaient contraste avec les épéistes torses nus, et les pratiquants de la magie noire trouvait contre eux les fées et les magiciens elfes .Au peuple de la nature s’était joint des centaines de dryades et plusieurs hommes-arbres, alors que dans les rangs elfes sombres, des dresseurs menaient à la bataille des hydres, des manticores, et d’autres bêtes couvertes de pointes et de dards acérés, qu’on aurait dit sortis des pires cauchemars des hommes .
Les préliminaires terminés -tentative infructueuse d’assassinat sur les dirigeants sylvains, rituels d’invocation d’esprits maléfiques, prières aux dieux de la natures…- Belphégor leva l’une de ses épées noires dans le ciel, signal de l’assaut, et dans une clameur effroyable, l’armée des elfes sombres s’avança, prenant de la vitesse .Poussant un mugissement farouche, l’Ost Sylvestre en fit autant .Sur toute la ligne de bataille, les troupes se rencontrèrent avec une violence inouïe, dans le choc des armes, le rugissement des bêtes, la sueur de l’effort, le sang des batailles, et le râle des mourants .Le combat dura toute la journée, les lances et les flèches trouant les armures et perforant les organes, les lames tranchant les têtes, et les crocs déchiquetant la chair .Au dessus du champ de bataille, les magiciens de chaque camp s’affrontaient dans un déluge de sortilèges tous plus dangereux les uns que les autres .Mais les elfes sylvains étaient aidés par les fées, ces êtres maîtrisant naturellement la magie, et les uns après les autres, les sorciers et sorcières drow succombèrent .Belphégor affrontait le fils aîné de la lumière de Gaïa dans une danse effrénée de lames, dans des mouvements si vifs qu’ils étaient presque imperceptible à l’œil nu .Le prince sylvain passait pour un prodige auprès de ses semblables, mais était néanmoins inférieur à Belphégor dans le maniement de l’épée .Après de longues minutes d’un combat dont, chacun le savait, l’issue serait mortel pour le perdant, l’elfe Sylvain eut un léger temps de latence pour replacer sa lame en défensif, et le seigneur de guerre profita de cette opportunité pour trancher son bras d’un coup d’épée droite et décapita le prince d’un revers de l’épée gauche .Alors qu’il ricanait en voyant le corps sans tête de son adversaire continuer de rester debout quelques secondes avant de tomber, il s’aperçut que la situation tournait à son désavantage .Ses soldats les plus forts succombaient sous les coups, ses créatures, accablés de blessures, s’effondraient les unes après les autres et peu à peu, ses troupes reculaient devant l’adversaire .Il invectiva ses soldats, exécutant sans hésitation ceux qui s’enfuyaient et se jeta dans la mêlée, tuant tous ceux qui se dressaient contre lui .Cependant, inexorablement, la victoire lui échappait .Si il persistait, il n’aurait plus assez de troupes pour décourager l’ennemi de le poursuivre, et se condamnerais ainsi .Alors, la mort dans l’âme, Belphégor donna l’ordre de la retraite .Ce jour là, les elfes sylvains et les fées avaient remportés une glorieuse victoire, au prix cependant d’effroyables pertes .Beaucoup de soldats étaient morts dans la bataille .Mais pour ce coût en vie humaines, le danger avait été repoussé .Jamais une armée d’elfes sombres n’alla plus profond dans le domaine forestier que la grande clairière Druidique .
Belphégor, ruminant cette défaite, se réuni avec les restes de son armée dans le palais haut-elfe, au centre du territoire en surface récemment conquis .La situation n’était pas tenable : Les elfes sylvains et les fées possédaient un lien très fort avec la nature .Dans le territoire remplit de végétation qu’était l’ancien royaume haut-elfe, les elfes sombres ne tiendraient pas longtemps, harcelés par les sylvains sur leur terrains, mais aussi par toutes les créatures au service de la nature .Ils n’auraient de cesse de reprendre ces lieux, et Belphégor refusait de garder dans son pied une telle épine .Il réunit ses plus puissants sorciers et sorcières et ensemble ils discutèrent sur un sortilège abominable, contre nature, un maléfice dont aujourd’hui encore l’ignominie tache la face du monde .Pendant des jours et des semaines, ils marquèrent les alentours de signes cabalistiques, en psalmodiant dans un langage maudit des paroles délétères .Enfin, une nuit de pleine lune, dans la grande cour du Palais, au sur un point de conjonction tellurique, au centre d’un immense pentacle d’inscription maléfiques, les sorciers elfes sombres incantèrent ensemble, alors que l’on sacrifiait des centaines d’esclaves, pour former l’un des plus vil maléfices que la bouche d’un être ait prononcé .Une vague de magie néfaste envahis le territoire des elfes sombres, corrompant la végétation, les animaux, et toute chose dans cet endroit, selon la volonté malsaine de Belphégor .Même l’air devint légèrement vicié, la sève de certains arbres devinrent du pus, dans l’écorce soudain violette se formèrent des faciès hideux, figés comme un témoignage de souffrance .Les bêtes devinrent agressives et connurent des malformations, se transformants en abominations, leurs griffes suintant du poison et leurs mâchoires à double rangées étaient couvertes de venins .Le maléfice était si puissante que des elfes sombres, pourtant déjà corrompus par la magie noire, mutèrent de corps et d’esprit, tournèrent à la folie et devinrent des bêtes dominés par l’instinct et les désirs malsains, se réfugiant dans la forêt corrompus, devenant des hommes-bêtes intégrant la nouvelle chaîne alimentaire .
Certains elfes sombres immigrèrent à la surfaces, certains de gré, d’autres poussés par les nécessités de la vie .Ils s’incorporèrent dans ce monde pervertit, vivant dans de gigantesques arbres creux couverts de pointes en bois empoisonnées . Enrichit de cette enclave à la surface, les elfes sombres continuèrent leur vie, leur civilisation « prospérant » tranquillement, une partie de leur regard toujours tourné vers l’extérieur.
Religion et culte
- Spoiler:
- Les elfes sombres ne sont pas vraiment religieux (entre autres raisons, difficile de désirer un au-delà où l'on retrouvera ses proches morts quand on est la cause de la mort d'une partie d'entre eux). Les "prêtresses" sont en réalités des jeteuses de sort, et les cultes sont quasiment inexistants. Cependant, une partie croit que le réseau de tunnels souterrains, que leurs ancêtres n'ont fait qu’aménager et développer, a été crée par une sorte de divinité de la roche, anagor, lente, minérale et présente, et par ses serviteurs, les ygr-anagor, version gigantesque et mythique des vers de roche, petite bestiole présente dans les souterrains. Même si la présence des tunnels et l'ambiance des souterrains est propice à certains questionnements, la religion occupe dans la société des drows une place tout à fait accessoire et n'y apparait que par quelques mythes et superstitions.
Généralités
- Spoiler:
- Les elfes sombres, ou elfes noirs, ou drow, présentent physiquement beaucoup de similitudes avec leurs "cousins" sylvains .Ils détestent cependant une analogie ou, pire, une assimilation entre leurs deux races .Etant donné leurs différences morales et comportementales, on peut les comprendre .
Les elfes sombres sont égoïstes, retors, mauvais, menteurs,ambitieux, sournois, calculateurs et perfides .
Ils peuvent avoir la peau plus ou moins sombres, de l'ébène à l'albâtre .Ils ont les traits fins et les oreilles pointues .- Forces armées:
- L'armée elfe sombre, grâce à une discipline de fer, fait preuve d'un professionnalisme et d'une efficacité qui, étant donné la nature chaotique et individualiste des elfes sombres, n'en est que plus impressionnante.
L’armée : Le Seigneur de Guerres des elfes sombres est le chef suprême de l’armée, les différents gouverneurs dispose d’un pouvoir d’officier supérieurs sur les troupes affiliés à leur cité, pouvoir qu’ils délèguent ensuite aux officiers de leur cité.
Les Assassins d’Elite : En plus de l’armée, le Seigneur de Guerre s’est entouré d’une garde d’assassins d’élites spécialement formés pour être les meilleurs dans le domaine de la mise à mort. Chacun d’eux est une arme redoutable ayant survécu à une sélection particulièrement rigoureuse et mortelle pour ceux qui y ont échoué.
La garde : La garde de chaque cité est gérée par le gouverneur, la Citadelle d’Acier où siège le Seigneur de Guerre est protégé par les meilleurs d’entre eux, tous répondant aux ordre du Capitaine de la Garde d’Elite.
Le corps d'espionnages : En relation direct avec le Seigneur de Guerre, les espions elfes sombres sont autant utilisé au sein même des cités qu'à l'extérieur. Leur utilisation extrême est presque vitale pour conserver le pouvoir et les compétences des espions elfes sombres sont parmi les plus avancés d'Etheria. Cas particulier, des espions non-elfes sombres existent et attirés par l'or et les traitrises des elfes sombres joue le rôle d'agent double dans les autres royaumes.
Les Ombres : Leurs rôles est assez identiques à celui de reconnaissance des Soupirs de la forêt sylvains, leurs nombres et leur importance est cependant nettement réduite en raison de la dangerosité extrême que représente la forêt corrompue.
Forces et faiblesses
- Spoiler:
- Forces:
- Immortalité face au temps. Mais, comme ils prennent soin de se le rappeler entre eux par des démonstrations réelles, une lame dans le corps rend l'immortalité incroyablement courte
- Des sens très développés suivant les individus. Ainsi, l'ouïe et l'odorat des elfes sombres de la forêt corrompue sont particulièrement développés, alors que les guides des souterrains peuvent voir dans le noir totale des souterrains les plus profonds par infravision. La majorité des drows a cependant perdu la vision à très longue portée qui fait la fierté des elfes sylvains
- Une agilité surhumaine : un des traits les plus marquants chez les elfes sombres. La génétique et la sélection naturelle, très active chez les elfes noirs, ayant fait leur boulot, les elfes sombres sont extrêmement agiles, plus que les elfes sylvains même. Ils se déplacent dans l'espace avec une grâce dissimulant la violence dont ils peuvent faire preuve, et sont capables de réflexes proprement inhumains.
- Un esprit intelligent et retors. Les drows chercheront toujours à tirer leur épingle du jeu, et sont très forts sur ce point là. Leur méfiance, voir leur paranoïa, les rendent particulièrement difficiles à abuser et à rouler.
- Un taux de natalité bien plus élevé que les elfes sylvains, de par leurs mœurs débridées.
- Une attirance et une facilité à la magie chez pas mal d'individus elfes sombres, généralement de sexe féminin.
- Immortalité face au temps. Mais, comme ils prennent soin de se le rappeler entre eux par des démonstrations réelles, une lame dans le corps rend l'immortalité incroyablement courte
- Faiblesses:
- Les elfes sombres ayant la manie de vouloir devenir calife à la place du calife, il faut un chef capable de survivre à toutes les tentatives d'assassinats que ses ennemis peuvent inventer. Ils sont suffisamment intelligents, cependant, pour comprendre quand leurs chances de survies sont plus faibles que leurs chances de réussites .Mais un coup par derrière est toujours à envisager.
- Leurs constitutions sont plus faibles que les autres races non-humaines, et ils ne bénéficient pas d'une quelconque régénération, ils sont cependant plus robustes que leur cousin sylvestre.
- Leur soif de pouvoir les poussant à se débarrasser de son prochain pour prendre sa place ou s'accaparer une partie de ses biens, leur taux de mortalité est bien plus élevé que chez les sylvains. Par conséquent, les elfes sombres ayant dépassés le millénaire sont des exemples exacerbés des traits de caractère des drows, et sont particulièrement malins et/ou puissants pour être parvenus à ce stade sans se prendre une dague dans le dos ou s'être fait empoisonné.
- Les elfes sombres ayant la manie de vouloir devenir calife à la place du calife, il faut un chef capable de survivre à toutes les tentatives d'assassinats que ses ennemis peuvent inventer. Ils sont suffisamment intelligents, cependant, pour comprendre quand leurs chances de survies sont plus faibles que leurs chances de réussites .Mais un coup par derrière est toujours à envisager.
Démographie :
- Spoiler:
- Population active totale :150000 habitants
Effectif militaire : 4500 soldats professionnels
Liens avec les autres peuples :
- Spoiler:
- Anges : Tendues
- Humains : Assez tendues. Relations commerciales.
- Elfes : Très tendues. Légers échanges commerciaux par certains marchands cependant.
- Fées : Tendues
- Vampires : Neutre.
- Lycans : Neutre.
- Démons : fortes relations commerciales. Au niveau diplomatiques, sans doute les meilleures relations des drows (presque "chaleureuses", mais avec toute la relativité des drows sur ce genre de termes).
- Morts Vivants : Dialogue discret et légère ingérence.
- Guerriers du Nord : Pas de vraies relations diplomatiques.
- Draconides : Pas de vraies relations diplomatiques.
- Nymphes : Tendues.
- Anges : Tendues
Merci à Belphégor