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    Leney C. Shriver Lycanne

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    Leney C. Shriver
    Invité


    Leney C. Shriver Lycanne Empty Leney C. Shriver Lycanne

    Message  Leney C. Shriver Mar 21 Juin - 11:03

    Leney
    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~




    ♣ Votre Personnage ♣



    Nom: Shriver
    Prénom: Leney Celeste
    Surnom: Ley' Pour les intimes. Sinistre pour la Légende.
    Âge: Passé les 600 ans. Ne lui dites pas qu'elle n'est pas loin des 700, elle va déprimer. Seulement un peu plus de la vingtaine d’apparence.
    Race: Lycan
    Localisation: Les montagnes. Si rien ne l'incite à en sortir
    Métier/Grade/Statut social: Berserks
    Orientation Sexuelle: Hétéro







    Description Physique et vestimentaire:

    Une longue silhouette, indéniablement féminine. À la peau de porcelaine, pâle et d'une douceur invitant à la caresse charnelle, et chevelure d'une encre parfaite, volant au vent. Cape de ténèbres  moirée de  reflets lumineux, caressant la chute de ses reins à chacun de ses mouvement emplies d'une grâce sauvage. Pas la grâce d'une ballerine. Ces frêles poupée de chiffon dont les carcasse sont juste bonnes à nourrir un louveteau. Non, la grâce des prédateurs. La grâce des carnassiers se coulant entre les branches sans briser la moindre brindille jonchant le sol qui les nourrit. La grâce de la force. La grâce de ceux qui donnent la mort.


    Mais amusons-nous à la décrire plus en détailles. Un visage presque doux, d'une beauté rare, mystérieux. Des traits fins, harmonieux. Des joues aux pommettes prononcées, rosées, trahissant ses rares rougissement, glissant délicatement vers un petit menton surmonté de lèvres pulpeuses sans être exagérées. D'un rose plein de vie. De santé. Un nez fin et droit. Peut être un peu trop si on apprécie le charme des nez aux tracés plus fins. Et enfin ses yeux. Deux pierres précieuses en forme d'amande, serties dans son visage. Deux mers grises agitées perpétuellement. Comme troublées. Des éclats d'un ciel d'orage ou de neige. Le rougeoiement des flammes rendant ses pupilles d'un améthyste sombre. Comme une lueur irréelle. Des cils d'une longueur à faire pâlir les superficielle de la société mondaine. Son arcade sourcilière gauche et percée en trois points décorés de piercing dont elle s'amuse à varier la couleur. Enfin, touche finale surmontant ce portrait semblant né des fantasmes d'un peintre, son front est orné d'un tatouage tracés pour sa gloire. Un air de noblesse, de grandeur. Une couronne gravée sur sa peau. Une couronne sauvage et gracieuse.  Après le visage, passons au reste du corps. Un cou exquis, aux veines palpitantes, débordante de vie de part le sang chaud y coulant à toute vitesse. De larges épaules, trop musclées pour répondre aux canons de beauté purs et simples. Il en va de même sur ses bras enserrant une poitrine rebondie. Généreuse mais sans trop, faite pour l'allaitement. Pour la vie. Leney est de ces femmes dont le sens semble voué à posséder et à transmettre l’existence. Continuons notre décente. Un ventre plat. Musclé sans néanmoins laisser éclater des abdominaux. Une musculature fine mais terriblement efficace en somme. Une musculature lupine. Son dos est la seule partie de son corps présentant des imperfections. De profondes cicatrices, souvenirs de batailles, éparpillées sur toute la surface de sa peau nacrée comme des boursouflures pâles s'étant installées dans un chaos total. Sautons une zone dont la vue n'est offerte qu'à quelques rois soigneusement choisis. De longues jambes imberbes. Faites pour l'endurance à rompre la patience plus que pour les vitesses vertigineuses. Dans sa sylve sauvage, la demoiselle ne ressent nulle gène à se balader nue ou peu vêtue si les températures le permettent. La pudeur est humaine. Pas animale. Mais les bonnes manières obligent, si elle doit sortir du couvert des arbres, des tenues légères, n'ayant rien de martial, et bariolées, ornées de motifs et de perles brodées, parent sont corps.



    Description mentale: Leney est une parfaite petite, mère de famille, douce, aimante, rêvant d'un amour idyllique et d'un maison pleine de bruits d'enfants. De pieds qui choquent le sols de bois. De disputes pour tels ou tels jouets. De câlin les soirs d'orages ou les petits êtres chétifs tardent à trouver le sommeil par crainte du tonnerre. De senteurs de pâtisserie quand sonnent es quatre heures... Bon, stop. Je cesse mon massacre insultant.

    Leney... c'est un tableau bien compliqué que vous me demandez de vous décrire. Je me contenterai alors des grandes lignes.  Louve. Tout un être contenu en un mot. Ou presque. Libre et indomptable. Sans maître. Hormis le chef de sa meute si elle l'accepte. C'est une créature sylvestre, amoureuse des grands chênes qu'elle peut voir gland puis arbre admiré de tous et du parfum laissé par les grands troupeaux. Une odeur de viande, de transpiration et de plantes mêlées. Des vents portant les odeurs annonçant les chasses et des cours d'eau ébouriffant son pelage ou hérissant sa peau de frisson. Des pierres éclatées comme des noix en des temps anciens ou des roches chauffées par le soleil aux heures où il se fait le plus ardent. Des insectes si éphémères pour lesquels la mort n'est pas une fatalité mais une place que l'on cède à un prochain. Des saisons qui reviennent sans cesse, depuis l'aube de temps et qui le feront encore bien après sa fin à elle, modulant son rythme de vie. Des flocons créant les jeux dans la neige si cher à tous. Du ciel nocturne, épinglé dans le vide céleste par les myriades d'étoiles qui le parsèment. Si nombreuse que nul le peut les compter avant que le soleil ne les fasse fuir dans un endroit inconnu telles des lucioles sur lesquelles elle n'essaierai jamais de refermer ses mâchoires par jeu. De la lune qui écoute les hurlements lancés par la meute. La meute... elle en est aussi amoureuse. Son horizon et sa demeure. Ses frontières et son infini.

    Notre meneuse dans l'âme est versatile mais son cœur lupin infaillible. Elle ne sait jamais ou donner de la tête, entamant une tâche, pour finir en regardant quelques abeilles butiner un bouquet. Si bien qu'elle se retrouve constamment avec une multitude de choses à faire. Elle aime admirer en silence. Sans bouger. Ainsi elle peut oublier qu'elle a repéré un troupeau en s'arrêtant pour regarder les enfants jouer. Elle ne s'en lasse pas. Si naïfs et fragiles. Ils dépendent des autres. D'elle. Mais il y a deux versants en tout être. Ceux de la lycanthrope sont juste très éloignés l'un de l'autre. Capable du meilleur comme du pire. De la douceur d'une mère comme de la sauvagerie d'un fou. Tout dépend de la situation. De la personne. Prête à aider son prochain, tant qu'il ne s'agit pas d'un vampire, elle ne juge pas les humains comme étant des proies mais risque fort de rompre cette idée si la faim se fait tenace.

    Il faut savoir que La louve n'attaquera jamais sans raison ni provocation. Un étranger peu passer sur ses terres. Elle le suivra. Méfiante. L'épiera en silence, s'octroyant le droit de vie et de mort telle une déesse possédant la toute puissance. Mais ne lui arrachera pas le cœur si il n'a pas d’attitude hostile. Envers elle, sa meute, sa sylve. Une joueuse d'échecs. Ne laissant rien au hasard. Cernant l'autre le plus précisément possible. Pesant toutes les possibilité, les failles à renforcer, les pièces à sacrifier.  Le poussant dans ses retranchements pour savoir ce qu'ils désire si nécessaire. L'allié peut la voir rougir d'un oubli coupable. L'étranger ne peut déceler que de la méfiance dans ses prunelles argentées. Une manipulatrice se débarrassant aussi facilement de son masque ce qu'elle peut en revêtir de biens étranges. C'est l'un des avantages à juger le vivant. Comprendre comment il pense. Au même moment que lui. Jusqu'à se l'approprier, le devenir si nécessaire. Une menteuse alors ? Oui, mais pas par jeu. Quoique...

    Le jeu, parlons-en. Le temps n'assagit pas tout les êtres. Leney en est la preuve vivante. Le jeu est naturellement important chez tout les chasseurs. Il permet d'aiguiser les réflexes et de ne pas perdre en capacité. Mais plus que par nécessité, elle aime les jeux..  par jeu. Se jeter sans prévenir sur un de ses camarades pour l'écraser, avec son imposante masse, au sol en fourrant sa truffe dans la fourrure pour la chatouiller si ils étaient sous la forme de loups ou lancer de l'eau si elle avait les mains nécessaires au maniement du récipient. La surprise se lisant dans les regards et les couinements étonnés ou faussement outragés étaient toujours un délice. Bien, passons de la joie euphorique à son contraire. Non, pas la peine, c'est quelque chose qui la touche bien peu. Je parle de la rage.

    Ses colères son rares mais sanglantes. Nul la connaissant ne désire la provoquer. Sinistre. Elle mérite sa réputation. Fléau mortel aussi bien que bénédiction. Si elle est hors d'elle, toute conscience s'évide de son corps jusqu'à ce qu'elle se soit défoulé. Défoulé en blessant. En semant la mort. Parmi tout ce qui passe sous sa patte. Ou elle court. Comme si elle prenait la fuite. Oui, la fuite. Pas pour elle. Pour les autres. Ses pattes la portaient plus vite que le vent ne poussait les oiseaux. Durant des heures. Canidé infatigable. Jusqu'à ce que ses coussinets se craquellent et son souffle se fasse rauque d'épuisement. Sa rage s'en allant avec sa résistance. La laissant comme une coquille vide qui s'abandonne au sommeil. Seule. Se haïssant de si peu de contrôle. Tout en sachant qu'il valait mieux que les choses soient ainsi.

    La convoitise peut effacer tout bon sens. Leney à soif. De vie. Parce que son temps n'est pas infini et les années qu'elle jugeait dérisoires dans sa jeunesse semblent filer entre ses doigts. Bientôt son temps sera finit. Mais avant elle veut se sentir vivre. De sexe. D'aventures. D'histoires. De découvertes. De gloire. Que sa légende soit narré des siècles après sa mort. Qu'elle vive encore dans les récits et les craintes. De pouvoir. De pouvoir...

    Histoire: L'histoire n'est pas un passé à conter, c'est un futur à écrire

    Je pourrais vous narrer les valeurs qui coulent en elle par son sang. Vous venter la grandeur de sa lignée. La noblesse de ses géniteurs. Mais ce serait une déformation trop imprécise pour être franche. Généralement, seuls les plus grands loups peuvent donner naissance à une portée. Pour ne pas se retrouver avec une bande de freluquets incapables de défendre le territoire ou de traquer le gibier. Alors oui, ses parents sont considérés comme des grands. Mais tout les louveteaux d'une portée ne sont pas aussi vigoureux que leurs parents. Certains n'ont pas la force de chercher à survivre en se disputant le lait gras qui les maintiendrait en souffle. Ils en meurent. D'autres évitent cette fin. Périssent de froid, d'un coup lors d'une chasse. Les meutes pleurent leur morts mais ne s’apitoient pas. C'est le cours naturel des choses. Un départ pour une arrivée.  


    Comme tout les petits d'une meute, Leney vécue une enfance heureuse. Partagée en ses premiers temps entre les jeux enfantins consistant en l'imitation des plus grand et les siestes sous le couvert rassurant des arbres et des foyers. Mais un contraste naissait entre elle et le reste de la portée. On parle rarement de lien de fraternité chez les loups. La hiérarchie de la meute et les liens d'amitiés étant plus importants que ceux du sang. Les autres petits utilisaient principalement la forme intermédiaire suivit de la lupine. La petite préférait les formes.. complètes. Elle aimait les instincts de l’animal, sa force et l’acuité de ses sens. Elle aimait l’ingéniosité de l'humain et la dextérité de ses sens. Les loups sont rusés, certes. Mais pas capable d'invention. Pas en constante amélioration. La forme intermédiaire n'est qu'un pâle mixe des deux.

    Ses forces croissaient de jour en jour. Différemment, certes, des autres petits mais surtout plus. Plus vite, de façon plus imposante. Ses muscles s'épaississaient. Elle sera grande, disait sa mère à son père, une pointe de fierté dans la voix, peut être même plus que toi.  Vinrent ses premières escapades en foret. Ses premières proies chassée. Des rongeurs. Comme pour tout les petits n'ayant pas la patience d'attendre les chasses officielles, déterminantes pour la hiérarchie future le plus souvent, où ils devraient parvenir à tuer une vraie proie. Celle-ci fut une réussite, rendant la demoiselle rayonnante de fierté. Elle voulait aller loin. Elle voulait aller haut. N'hésitant pas à ouvrir sa gueule pour railler ce qu'elle appelait les faibles. Pas les chétifs, ceux qui sont obligés de les secouer pour se sentir forts. Ce sont eux, à ses yeux tantôt du vert de la sylve, tantôt du gris du silex, qui méritent son venin.  

    Elle devint femme. Une adulte confirmée. Développant un certain talent pour le tire à l'arc et tout les travaux manuels. Tanner des peaux, en faire des étoffes, les orner méticuleusement. Des tâches qu'elle accomplissait étape par étape, sans s'interrompre lors de l'une d'elle. Sinon elle aurait oublier de l’achever avant un bon moment. Un seul idiot se risqua un jour à remettre en jeu sa valeur. Parce que sa forme intermédiaire était juste moyenne. Un seul.

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    Du sang. Hémoglobine. Explosion rougeâtre souillant les arbres alentours, gorgeant la terre meuble et fertile au grand régal des vers fouillant ses entrailles d'humus. Des êtres rampants qui finiraient piétiné sous ses coussinet sans qu'elle ne regrette plus que de s'être tachée. Ses crocs se plongèrent dans la peau si tendre du cou, un goût métallisé dans sa gueule réveillant le pire de son être. Elle n'était plus qu'une vague bouillonnante de rage, vide de toute raison, de toute compassion devant les couinements de douleur.  Elle secoua sa gueule massive. Ô oui, massive. La majorité des loups étaient si petits. Et elle si grande. Elle allait en faire un paquet inerte et flasque. Les couinements se firent plus plaintifs encore, pleins de douleurs. Grisant les sens de la louve aux yeux révulsés.

    *Oui, cris encore. Ta vie m'appartient. Hurle à la mort et livre moi tes entrailles*

    Le loup entre ses crocs se soumettait. Elle aurait dû le lâcher. Ses parents lui avaient toujours dis qu'un lycan de doit tuer l'un des siens qu'en cas extrême." Blesser est suffisant pour s'imposer. Obtient la soumission de l'autre et tu n'as plus rien à recevoir de lui. Abandonne sa chair." Ses dents lâchèrent la fourrure si soyeuse. Lentement. Comme un danseur étire ses muscles, les mâchoires desserrèrent leur emprise. Pleines de milles langueurs. Le loup sous sa forme intermédiaire boitilla péniblement. Amoché. Ses yeux luisants de haine. Mais la hiérarchie est telle. Un loup intelligent doit savoir en quels moments il peut tenter de monter en grade et à quel autre sa queue doit se faire basse. La fierté est une chose. La stupidité en est une autre. Mais autre chose occupait son esprit. Elle avait voulu le tuer. Lui faire mal. L’immobiliser et le mordiller pour lui montrer qu'elle peu le blesser aurait été suffisant. Comme pour tenter de se faire pardonner, elle baissa sa truffe, passant sa langue sur les plaies de son adversaire déchu. Celui-ci grogna mais elle n'en eut cure et plongea ses yeux verts dans ceux d'un bleu qu'elle n'avait jamais remarqué.

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    Comme prise de regrets, Leney s'occupa de temps à autre de donner quelques menus services le temps qu'il se remette. Si la hiérarchie de la meute est susceptible de bouger tout au long de l'année avec une explosion, la saison la plus propice aux bouleversements et celle du printemps. La saison où tout renaît. Tout se transforme, subissant les changements rudes et sublimes. Des rumeurs courraient selon lesquelles Leney, devenue une superbe créature, sous toutes ses formes, bien que l'intermédiaire reste celle dont elle avait la maîtrise la plus précaire, tenterait de devenir meneuse des chasses. Pas un poste énorme, certes. Mais palpitant. Ils eurent raison. La louve utilisait enfin sa ruse.

    Ce fut en cet instant, que sa soif de pouvoir naquit. Oui, c'était déjà pas mal. Mais pas assez. Pas encore. Elle resta à ce poste tout de même un siècle. Le temps, à ses yeux, de se parfaire. Mais les proie la lassèrent. Vint la défense des territoire. Plus grisante. En temps que simple défenseur, ce qui fut très bref. Puis meneuse des patrouilles. Là elle comprit le vrai sens de gérer des troupes. Canaliser les loups sous ses ordres. Ce fut durant cette période que Sinistre naquit. Menant ses rangs d'une patte de fer et toujours avec sagesse. Sans jamais défier les lois de l’alpha. Les loups devinrent, sous ses directives, des observateurs avant d'être des attaquants. Pas qu'elle les rendis passifs et incapables, loin de là. Mais elle les obligea à regarder. Pas seulement avec leurs yeux. Avec leurs neurones. Il faut bien l'avouer, quantité d'entre eux n'y arrivaient pas. Leney n'est pas une lumière éblouissante. Des notions, telles que l'infinité ou le microscopique lui étaient inaccessibles.Pas du genre à tout mémoriser d'un coup et résoudre des énigmes d'une difficulté rocambolesque. Mais il y a quantité de formes d'intelligence. Et si le sens des affaires lui échappait, elle était ouverte d'esprit et sage. Mais sans pitié pour la moindre menace. Son autorité lui permit de laisser sauf quelques humains solitaires passant par là. La meute ne manque pas de gibier ? Alors inutile de l'attaquer, sa viande est fade et il n'a pas plus d’intérêt qu'un lapin.  

    Elle se contenta longtemps de cette place. Elle était belle. Très belle même. La place, pas Leney, hein (quoique...). Les jeunes loups ne s'étaient jamais baladé en foret avec si peu de risque. Parce qu'à l'efficacité suit la réputation. Un Sinistre sévit sur le territoire des lycans. Comment ça ? Il parait qu'un groupe de chasseur s'y serait rendu pour venger la morts de leurs compagnons qu'ils mettaient sur le dos des lupins. Et ? Un seul est revenu. Un loup énorme est devenue une femme terriblement belle, nullement gênée de se présenter nue. Elle lui aurait ordonné de partir. Et de répandre sa parole.

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    Cette femme aux yeux gris s'approcha de moi. Je me fichait de sa nudité en cet instant.

    Écoute moi bien petit homme. Rentre chez toi. Et avertis tout ceux que tu croiseras. Moi, Sinistre, j'arracherai la tête et dévorerai le cour de tout ceux qui pénétreront le territoire de ma meute avec des intentions hostiles.

    Elle se rapprocha encore et chuchota à mon oreille.

    La peau de tes compagnons me vêtira et leur os serviront de bijoux. Je ne te laisse en vie que pour que tu transmettes ce message. Ne le fait pas, et je te traquerai pour récupérer ce que je juge qui m'est dû. Je n'oublie jamais une odeur. Pars.

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    Le grand désavantage de la soif de pouvoir est qu'elle ne se tarie jamais. Leney devint respectée et crainte. Mais un printemps, elle lutta contre le Berserks actuel. Sa défaite lui rongea les os durant des années. Elle n'avait eu jusqu'à ce moment, que des victoires. Elle s’entraîna. Devenant une tireuse d'élite à l'arc. Sur des cibles lointaines, minuscules ou en mouvement. Et elle devint plus forte, plus souple. Plus vive. Deux décennies plus tard, la victoire fut sienne. Enfin. Ses yeux du vert de la sylve brillaient de fierté. Elle était la championne. Seul deux personnes étaient encore au-dessus d'elle. Mais pour combien de temps ...?

    Animal de compagnie, monture, possession terrestre* : Que nenni

    Pouvoir: Ses capacités de Lycan qui sont particulièrement aiguisées.

    Inventaire :Un arc et deux types de flèches. Les flèches destinées aux bipèdes et les flèches destinées aux quadrupèdes. La différence ? Le sens de la pointe en silex par rapport à l’empennage. Les flèches pour les bipèdes ayant la lame à l'horizontal, lui permettant de passer entre les côtes, qui sont dans le même sens, pour perforer le poumon plutôt que de ricocher bêtement sur l'os pour blesser sans tuer. Vous avez compris le système, la pointe est à l'envers pour les quadrupèdes.  


    Dernière édition par Leney C. Shriver le Sam 25 Juin - 10:03, édité 3 fois

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